J'ai regardé que la moitié, mais c'est cool d'avoir quelqu'un comme Besancenot pour parler autant sans interruptions.
Par contre le chiffre le plus intéressant je trouve que c'est celui là :
(je reprends ce dont je me souviens :)
{En 30 ans en France, 10% de la richesse détenue par les 80% les moins riches est passée dans les mains des 20% les plus riches.
Si on augmentait les taxes envers la spéculation, les entreprises et les très riches suffisamment, c'est 300 milliards qui pourraient repasser dans les mains des 80%. C'est 300€ par mois par personne majeure en France.
Ce sont les politiques de "précarité" de "il faut que les petites gens fassent des efforts" et de "on ne peut pas augmenter cette année" qui ont transféré cette richesse des pauvres aux riches.}
Et la seconde partie la plus intéressante :
{Si on prend en compte tous les impots, directs comme indirects, au final plus on gagne d'argent... ben plus on a de "pouvoir d'achat". Car oui la TVA à 20% c'est 20% pour tout le monde. Qu'on soit riche ou pauvre. Pour une personne qui gagne peu d'argent, cet imposition indirecte peut être 2x plus élevée que son imposition directe. Et même si une personne très riche est plus taxée, au final son pourcentage d'imposition réel sera plus faible."}
C'est marrant quand même.
Quand on parle d'une loi qui va à l'encontre des valeurs ultra catho (vous savez, un papa qui travaille et une maman soumise qui élève les 8 enfants en restant bien sagement à la maison), ben les détraqueurs de cette loi ne parlent jamais de la loi en elle-même (car forcément, on la connait déjà et on sait déjà ce qu'elle permet) mais des conséquences diaboliques, sataniques et immondes des futures lois qui apparaîtront par magie si cette nouvelle loi est votée...
(Car c'est bien connu, dès qu'une loi est votée, toutes les dérives possibles sont votées en même temps. Un classique.)
Tout ce discours "PMA" => "GPA" => "Eugénisme" on se l'est déjà tapé... quand c'était déjà... ah, oui, quand ces putains de rétrogrades voulaient interdire le mariage pour tous. Il y a 6 ans.
Pffff..
Pour citer Kaamelott : "Oh vous, toujours vous, mais allez chier dans une fiole, on verra après"
Je viens de passer le cap des 25 000 mots dans mon livre.
Pour celles et ceux qui ne le savent pas, je participe au nanowrimo : national novel writing month. J'ai commencé ce livre le 1/11.
L'objectif est d'écrire un livre de 50 000 mots en un mois. J'en suis pile à la moitié, le 15/11. C'est pas si mal :)
Ce challenge est là pour nous faire découvrir qu'on peut écrire un livre en un mois. Pas forcément un livre parfait ou génial, mais tout de même... un livre. Je trouve ça cool et challengeant. De plus, avoir chaque jour son compteur et le nombre de mots à écrire aide vraiment bien. Ca motive.
Voici mes réflexions, problématiques et notes :
1) J'ai commencé à réfléchir à la trame de mon histoire le 30/10. L'histoire a tourné dans ma tête et le 1/11 j'avais une idée grossière de l'histoire que je voulais raconter
2) Tous les détails de l'histoire me sont venus petit à petit. J'essaye de tout faire coïncider mais ce qui est négligeable (par rapport à la trame centrale) me vient au jour le jour.
3) J'avais une bonne idée de ce que je voulais comme personnage principal. Je me suis appliqué sur ce personnage et je l'ai créé pour qu'il me plaise.
4) Les personnages secondaires sont créés de manière bien plus spontanée.
5) C'est un enfer d'éviter les erreurs de noms, de se souvenir des physiques et personnalités exactes des personnages... Si j'avais sû j'aurais rempli un excel avec chaque personnage au démarrage.
6) J'ai beau lire beaucoup, je n'ai aucune idée de la syntaxe exacte d'un dialogue. J'improvise du coup.
7) C'est incroyable le nombre de répétitions que je peux trouver en me relisant. Un exemple : "ses yeux verts foncés bleus" ou encore "il dit d'un ton las : "arrêtez !" dit-il d'un ton las."
8) Le français c'est un enfer quand il s'agit de désigner un personnage. Si mon personnage s'appelle jean, je suis obligé d'alterner. Jean => le jeune homme => il => son interlocuteur => etc.
9) Au début j'avais envie de tester l'écriture inclusive, mais c'est incompatible, pour moi, avec un objectif de mots par jour. J'ai laissé tomber pour le moment :(
10) Parfois on revient 5 chapitres derrière pour changer un détail ou rajouter un détail. Quelque chose d'insignifiant pour moi est devenu très important pour la trame.
11) A force d'écrire, ma trame principale s'est étoffée et je pourrais la faire durer sur 3 livres !
12) Quand j'ai réalisé ça, je me suis rendu compte qu'il fallait quand même une scène importante et une vrai fin à mon livre, même si l'histoire principale n'était pas terminée. Et ça a été assez facile à trouver.
13) J'ai commencé à regarder pour le faire imprimer. Ca reviendrait à 11/14€ le bouquin imprimé.
14) Je pense l'imprimer en quelques exemplaires et le donner à ceux qui veulent. Et en fonction de leurs retours, voir ce que je pourrai en faire (le faire éditer pour de vrai, etc.)
15) Faire relire un bouquin de 60000 mots coute entre 800 et 1000€. Ca pique.
16) Le truc le plus incroyable dans tout ça... c'est de se dire : "mais merde, je crée un univers. Ce personnage n'existait pas hier, je lui ai donné vie, je lui ai donné un caractère... et je contrôle ce qui lui arrive."
17) Malgré ça, certains personnages s'écrivent tout seul. En écrivant un personnage j'ai changé sa nationalité car son caractère ne correspondait pas du tout à ses origines. A force je ne sais plus si j'écris un livre ou si un livre s'écrit de lui-même à travers moi.
18) Please send help.
19) Je suis incapable de me motiver à écrire le weekend. Du coup j'écris 2500 mots par jour ouvré.
20) Pour être plus productif je reste au travail et je m'interdis de rentrer tant que je n'ai pas écrit mes mots. Ca marche pas mal :)
Voilà, j'espère que c'était intéressant pour vous :)
Et une fois mon bouquin terminé et relu... peut-être que je le partagerai :) L'avenir nous le dira. Bonne soirée à tous et toutes, moi je retourne écrire.
["S'ils fuyaient c'est qu'ils avaient quelque chose à se reprocher"]
["Encore un pauvre policier agressé par des jeunes"]
Rappel : <A href="http://www.urgence-notre-police-assassine.fr/123663553" rel="nofollow">http://www.urgence-notre-police-assassine.fr/123663553</A>
"Child: "Grandpa, what did you do during the rise of fascism?"
Grandpa: "I can proudly say that I bravely stood up to the people who were mean to the fascists, upholding the highest value: civility."
Child: "God damn Grandpa, you are a fucking idiot.""
[via Riff]
"Une seule personne sensée aurait-elle pu penser que le recyclage aurait arrêté Hitler, ou que le compostage aurait mis fin à l’esclavage ou qu'il nous aurait fait passer aux journées de huit heures, ou que couper du bois et porter de l’eau aurait sorti le peuple russe des prisons du tsar, ou que danser nus autour d’un feu nous aurait aidés à instaurer la loi sur le droit de vote de 1957 ou les lois des droits civiques de 1964? Alors pourquoi, maintenant que la planète entière est en jeu, tant de gens se retranchent-ils derrière ces "solutions" tout-à-fait personnelles ?"
Un post qui résume parfaitement ma pensée sur la politique du "chacun doit faire sa part pour aider la planète". (cf <A href="https://www.numerama.com/tech/438214-meme-les-flemmards-peuvent-reduire-leur-consommation-de-plastique-suivez-le-guide.html" rel="nofollow">https://www.numerama.com/tech/438214-meme-les-flemmards-peuvent-reduire-leur-consommation-de-plastique-suivez-le-guide.html</A> )
C'est une connerie. Car même si toute l'Europe se mettait, du jour au lendemain, à appliquer tout ce qu'on nous disait sur "comment polluer moins"... ben ça ne changerais RIEN.
Petit rappel : 100 entreprises génèrent 71% de la production de gaz à effet de serre.
Ce qu'il faut, c'est changer le système. Revenir en arrière. Arrêter le capitalisme et cette course à la croissance qui nous conduit irrémédiablement dans le mur.
Après oui, faire un geste à son niveau ça ne fera pas de mal. Mais ça ne fait pas spécialement de bien non plus. C'est juste un placebo. Ca nous aide à nous sentir mieux. Mais ça ne change rien du tout à l'avenir de nos enfants et petits enfants.
"L’homme est en crise, dit-on. Parce que la société serait féminisée. Parce qu’il n’y aurait plus de modèles masculins. Ce cliché, très répandu, sert à justifier que des frustrés réactionnaires agressent des femmes. Ils ont une bonne excuse, «les pauvres»."
"<A href="https://lemecxpliqueur.files.wordpress.com/2018/08/heterosexualitc3a9.png"" rel="nofollow">https://lemecxpliqueur.files.wordpress.com/2018/08/heterosexualitc3a9.png"</A>;
"Les enfants ne sont pas amoureux.
Les enfants ne sont pas hétérosexuels.
Les enfants sont des enfants."
EDIT : Après réflexion, je crois même que une conséquence directe de ça... c'est la girlfriendzone.
A force de grandir dans un environnement qui lui dit "tu ne peux pas être ami avec des filles, seulement des mecs" et "si t'es ami avec une fille vous finirez ensemble haha" ben l'homme se crée l'image classique du : hommes = copains, femmes = conquêtes. Du coup, un homme ne peut pas juste concevoir d'être ami avec une fille. C'est pas dans le pattern. Donc il passera son temps à essayer de faire coller la situation avec le pattern qu'il a dans la tête, à savoir... coucher avec la femme.
On dit souvent que les hommes ne peuvent pas avoir d'amies femmes. La faute à qui ? Ben aux parents et à l'école.
ARRETEZ DE SEXUALISER VOS ENFANTS. Les enfants n'ont pas d'amoureux, de copines, d'envies sexuelles, ou autres. Et s'ils prétendent en avoir, c'est pour vous faire plaisir, à force d'entendre vos commentaires "ohhhh ils sont trop mignons, je suis sur qu'ils finiront ensemble".
(Je trouve ça toujours incroyable de voir à quel point les parents peuvent parler de leurs enfants en leur présence, en imaginant... je sais pas, qu'ils sont temporairement sourds ? Ou qu'ils comprennent pas qu'on parle d'eux ? Tssss)
Suppression d'emploi, on taxe encore plus les pauvres, on privatise, etc.
Autour de moi, j'ai toujours vu des chiens mal dressés. Et toujours la même rengaine : "je suis rentré il avait pissé derrière le canapé, je lui ai mis le nez dedans, il a intérêt à pas recommencer".
Vous savez ce que le chien comprend quand on fait ça ? Il comprend que vous n'aimez pas voir sa pisse. Donc il recommencera, mais essaiera de mieux cacher sa pisse. Il n'a aucune idée que le problème... c'est qu'il a pissé dans le salon.
Avec ma copine on s'intéresse depuis quelques semaines aux chiens, étant donné qu'on vient de prendre un berger australien miniature (qu'on récupèrera dans 10 jours <3).
Du coup on a lu quelques bouquins sur comment élever et dresser un chien.
Et on en a retiré une règle cruciale que la majorité des maîtres·ses de chiens ne respectent pas : un chien ne s'améliorera qu'avec du renforcement positif. (le récompenser quand on rentre et qu'il n'a rien sali ou abimé par exemple, le récompenser quand il fait ses besoins dehors, etc.).
Dans notre société humaine on félicite très rarement les gens quand ils réussissent quelque chose. Par contre dès qu'ils foirent un truc ils se feront engueuler, et on leur reprochera un moment.
C'est un schéma qu'énormément de gens ont tendance à reproduire dans leur travail ou avec leurs enfants (malheureusement).
Mais pour les chiens ça ne fonctionne pas. Il faut prendre les côtés positifs et faire comprendre au chien quand il a bien fait les choses. On ne doit pas mettre le chien face à ses échecs (le chien a déchiré un coussin ? On nettoie quand il ne sera plus là. Le chien a pissé ? On ne le gronde pas. On ne lui met pas le nez dedans. On nettoie après l'avoir mis dans une autre pièce.)
Au contraire... On se concentrera surtout sur le fait de le récompenser quand il fera pipi dehors, quand il n'aura pas sali/abimé l'appartement étant seul, etc.
De lui-même, il arrêtera de faire des bêtises car sera heureux de faire pipi dehors, ou de ne rien abimer dans l'appartement.
Récompenser un chien est le seul moyen de le dresser efficacement.
Tout ça est dingue car je réalise que de tous les possesseurs de chiens que j'ai connu, aucun n'appliquait cette méthode. Enfin si, la première semaine quoi. Et après ils retombent dans leurs travers.
Et là j'en viens à me dire : comment serait-on si on appliquait ce renforcement positif aux humains ?
Que serait-on devenu si on nous avait appris que l'échec n'avait rien de grave ou de honteux ? Et que n'importe quel accomplissement se devait d'être félicité ?
Ne serait-on pas naturellement plus heureux au jour le jour ? Plus courageux, plus ouverts, plus extravertis, plus empathiques ?
Voilà, c'était ma réflexion du jour.
Une développeuse qui s'est amusée à soumettre ses contributions à GnuPG en alternant des pseudos masculins et féminins.
Bilan ?
80% de ses pull requests avec des pseudos masculins étaient acceptées.
100% des pull requests avec des pseudos féminins étaient refusées.
Sexisme ambiant, tout ça.
Désolé Kevin mais je suis obligé de tout reprendre (si ça ne te gène pas), je trouve ta réponse vraiment bien :)
"Je ne suis pas sûr de la pertinence de la question.
Un⋅e macroniste n'a pas forcément "factuellement tord", et je ne crois pas qu'il faille forcément se battre sur ce terrain.
Je veux dire, bien évidemment que les macronistes trifouillent les faits comme ça les arrange, en occultent certains, etc. mais ça c'est le jeu politique relativement classique. On en oppose d'autres, révèle ce qui est occulté ou délibérément oublié, bref, ça c'est assez banal au final. La différence est que Macron a une communication très bien rodée et une personnalité qui n'est pas excentrique, c'est à dire qu'il allie, pour le coup, les forces de Sarkozy et de Hollande sans en prendre les défauts. La technique reste cependant la même.
Là où il faut combattre Macron, c'est sur les idées, sur l'idéologie, sur la vision de société. Je pense que c'est clairement ça qui manque aujourd'hui, l'aspiration à un autre monde et, surtout, l'idée qu'on a les moyens de le mettre en place.
On est clairement dans une phase de "sidération" je dirai, où on se confronte à un gouvernement et un monde qui attaque sur tous les fronts, sans s'essouffler. C'est là qu'il faut tenir bon, et défendre d'autres perspectives que celles qu'on veut nous imposer par le choc.
Pour en revenir à la question initiale, je me demanderai "qu'est-ce qu'un⋅e macroniste aujourd'hui ?". Parce que les personnes "de gauche" ont déjà quitté son navire et que plus personne n'est dupe : Macron est de droite, point, il n'y a pas à tortiller du cul pour chier droit.
Du coup, les personnes de droite ont-elles "factuellement tord" ? En politique, les faits, c'est bien, mais c'est pas vraiment le sujet. Pour un même fait, on peut avoir plusieurs analyses, et c'est ça qui derrière forge les idées. Le problème aujourd'hui est qu'il n'y a qu'une seule analyse ultra-dominante, dont la ligne politique se situe quelque part entre la droite et l'extrême-droite, ça dépend des sujets.
Le combat sur les faits, s'il est important, reste anecdotique en terme d'impact politique, et donc anecdotique pour combattre le "macronisme". L'objet politique n'est pas tant de dire à un⋅e macroniste qu'il a factuellement tord que de lui dire que son modèle de société, on le trouve pourri, inégalitaire, injuste et mortifère, qu'on n'y souscrit pas, qu'on n'en veut pas. Bref, qu'on lutte des classes."
If you've ever gotten governement subsidies while your workers are on food stamps... you might be bourgeoisie
if 'youve ever complained about paying too much tax on money you got from extracting rent... you might be bourgeoisie
If someone asks if you own a "Dog" and you ask what stock symbol that is... you might be bourgeoisie
If you've ever been disappointed that wages are up... you might be bourgeoisie
If you feel more safe and comfortable when the cops show up... you might be bourgeoisie
[...]
(et au survol de la souris :)
If you think poor people are poor because they were too stupid to invest is property...you might be bourgeoisie.
If you think that without entrepreneurs no one would bother to do any work...you might be bourgeoisie.
If you think "freedom" means having more power to boss around your employees...you might be bourgeoisie.
If you the person who should get credit for a new technology is the guy who hired people to make it...you might be bourgeoisie.
If you think the people on welfare are the ones sponging off society...you might be bourgeoisie.
If you think the "homeless problem" is that if there are too many of them around it lowers property values...you might be bourgeoisie.
If someone asks you what you do for a living, and you describe your investment portfolio...you might be bourgeoisie.
[...]
If you wake up everyday and work to make someone else rich, if you are in debt from having to borrow money to pay for an education that makes you more valuable to your boss, if you feel alienated from your pointless job that does nothing beneficial for society, if you feel that life is getting sucked out of you to fulfill someone else's dream, well... then i have bad news for you.
Yeah the proletariat jokes aren't as funny. And weirdest part is after all that the bourgeoisie hate you and call you "lazy", even if they suck the life out of you. Wich is sort of like a tape worm complaining that you don't spend enough time eating
"Car les violences policières ne sont pas un dysfonctionnement. « Il ne s’agit pas de bavure ou de dérive, affirme Robin, mais d’un système de domination qui fonctionne grâce aux œillères que la majorité des individus ont du mal à faire tomber et à la censure médiatique qui court du massacre d’octobre 1961 à aujourd’hui en passant par des milliers de crimes policiers impunis. » On tire un fil qui nous mène aux racines du pouvoir et à son autoritarisme.
[...]
« Cette version policière est apathique, on peut la démolir, soutient Robin. Raconter la vraie histoire. »
[...]
Il a porté plainte. Son dossier a été transféré de Nancy à Metz. « L’État essaye de gagner du temps, d’épuiser. » Les procédures contre les violences policières sont longues et conduisent souvent à des non-lieux. Parfois, il faut attendre plus de dix ans. Ce sont des crimes sans châtiment.
« Je me sens aujourd’hui appartenir à la communauté des victimes de la violence d’État. Les blessés, les familles de tués… Mais nous ne sommes pas uniquement reliés par la souffrance. C’est la lutte qui nous anime, assure Robin. Nous avons tous une date où notre vie a basculé. Nous sommes tous témoins des mensonges qui ont été proférés sur nos histoires par les institutions au plus large audimat. »