"Le schéma se répète : Vu qu'on est pas face à un terroriste blanc on peut se permettre de mettre en exergue le fait que ce soit un « islamiste »
Vu qu'il y a 50 morts et 50 blessé il faut quand même en parler, par contre on va soigneusement éviter de parler du fait que c'est un attentat homophobe.
Comme ça les racistes peuvent s'en donner à cœur joie, et les homophobes (qui passent le reste du temps à se plaindre de l'existence des boites LGBTQI comme celle visée) peuvent se joindre à eux sans trop se faire griller."